Refuser la Maltraitance, la Manipulation et l'Emprise sur nos enfants, mais sur nous également
Une grève de la faim.
L’idée première qui m’est venue était de poser un ultimatum pour alerter les personnes de la gravité de la situation et soutenir tous ces jeunes qui sont victimes de décisions délétères pour leur équilibre psycho-socio-développemental.
Manipulation à laquelle je participe par mon obéissance puisque j’ai 2 ados.
Afficher publiquement ma contestation, ma souffrance et mon refus de voir nos enfants ainsi traités.
Soutenir aussi toutes les personnes qui sans relâche travaillent d’arrachepied à faire cesser ce désastre.
Etais-je prête à mourir si aucun changement n’arrivait ?
Non.
Cette mort serait inutile, je le sais avant même de commencer.
Ce serait en revanche un abandon vis-à-vis de mes enfants, une fuite.
J’ai profondément envie de contribuer à changer les choses pas à les fuir de cette manière.
Un jeûne revendicatif.
Je ne m’alimente plus et symboliquement n’alimente plus ce qu’on m’oblige à faire.
Le jeûne pour les jeunes, accompagnement et soutien à ce qu’ils traversent.
Un acte symbolique, à l’instar d’une grève de la faim mais sans le déclin, parce que je désire rester mobilisée jusqu’au bout
Dénoncer qu’on nous retire l’acte nourricier psychologique qui est l’éducation de nos enfants.
Les écoles sont là pour instruire, les parents sont là pour éduquer, accompagner leurs enfants vers l’âge adulte.
Rôle que l’état nous retire en imposant sous un prétexte sanitaire une éducation de soumission et d’asservissement qu’ils pratiquent à grande échelle sur nos enfants, balayant tout ce que les parents bienveillants construisent : la transmission de valeurs éthiques et humanistes.
Un jeûne engagé pour procéder au nettoyage avant le renouveau, pour éliminer les peurs.
Une purification de mon moi, souillé par des actes que j’ai dû accepter pour que mes filles continuent d’étudier, pour qu’elles continuent d’avoir « une vie sociale » qu’on leur refuse en dehors de l’école.
La naissance de ce projet :
Face à la violence de la situation déversée sur toute cette génération mon premier réflexe fut de répondre par la même violence, pour aller au-delà de mon impuissance sur cette maltraitance, pour crier bruyamment mon NON et celui de tant d’autres parents.
J’ai discuté de ma démarche . J’ai expliqué pourquoi l’urgence de la situation nécessitait à mon sens un acte fort pour faire réagir toute une partie de la population qui n’a pas encore conscience de la gravité des mesures imposées.
Leurs retours m’ont amenée à réfléchir et à adapter cet engagement que je souhaite fort mais aussi durable.
Montrer à nos enfants qu’on ne les oublie pas, qu’on ne reste pas les bras croisés, on est à leur côté, inquiets, on fait des démarches partout en France et leur mal-être est également le nôtre.
En espérant qu’ils réagissent eux aussi. Le vrai luxe c’est être son essence : libre !
Une action immédiate pendant que celles au long terme se poursuivent parce que :
- Les semaines passent, les troubles physiques et psychologiques s’incrustent de plus en plus profondément chez nos enfants.
- Les actions menées sans relâche par de nombreux professionnels de santé, parents plaignants et accompagnants prennent du temps. En soutien de leurs actes participer sur du court terme me permet de contribuer à cette tâche collective.
- De plus en plus de parents se sentent désespérés et impuissants face à cette souffrance grandissante, ils ne comprennent pas comment tout cela est possible de la part de ceux qui devraient normalement assurer notre protection : notre gouvernement.
Nombreux se croient seuls et isolés. Leur montrer que nous sommes là, avec eux, allège ma tristesse.
Alors j’opte pour ce Jeûne revendicatif. Des idées viendront renforcer la démarche en cours de route. Le projet évoluera, comme nous.
Quelques marches sont prévues j’informerai sur ce sujet.
Car si prendre en compte un virus a du sens, les mesures actuelles n’en ont quant à elles aucun.
Les violences infligées aux enfants, tous âges confondus, questionnent.
Cette désastreuse expérience que ces gouvernances nous imposent est opportunité à évoluer, à changer, à s’améliorer. Faisons un grand ménage pour reconstruire en mieux.
Mes ados
J’ai 2 adolescentes, L. 14 ans et S. 12 ans.
Pour situer le contexte j’ai eu mes deux filles à la quarantaine et j’ai interrompu mon travail pour me consacrer exclusivement à l’éducation de mes enfants.
Ma présence auprès d’elles me parait plus que jamais indispensable, je ne m’en éloignerai pas tant que la situation extérieure restera aussi destructrice et qu’elles seront dans cette phase si fragile : l’adolescence.
Je vais témoigner aujourd’hui de ce qui m’apparait comme une situation d’une gravité et d’une souffrance alarmantes pour nos ados.
Je suis déjà engagée pour les petits, mais ils ont eu « l'appui» d’une levée de boucliers pour les 6-11 ans, ce qui ne fut pas le cas des plus grands.
Je parlerai principalement des ados qui sont dans cette crise les laissés pour compte au milieu de ce déferlement d’actes incongrus d’un exécutif devenu fou.
Sous prétexte de faire face à une pandémie qui ne touche gravement qu’une partie infime de la population, des mesures sanitaires totalement démesurées et inadaptées sont appliquées sur tous les scolaires.
Au détriment de tout ce qui participe au développement de nos enfants, et ce, ça fait frémir, dans une liberté d’action totale et insensée de la part de nos autorités face à notre immobilisme.
Après les avoir propulsés au premier rang des responsables de la diffusion du virus, mettant en péril les anciens, étant « porteurs sains » prêts à semer la pagaille parmi la nation, un développement vital leur est amputé au ¾ au nom d’une pseudo protection sanitaire.
Culpabilité, peur et isolement : les armes redoutables de la relation d’emprise, de la manipulation mentale.
J’ai découvert par hasard il y a quelques mois que S. se scarifiait les avant-bras.
Alors que L. proclame haut et fort que non le masque ne la gêne pas, que non rien n’a changé pour elle et que tout est pareil qu’avant, que le masque c’est mon combat pas le sien, que c’est même hyper pratique en hiver ça tient chaud et puis c’est joli…
C’est presque « vive le masque » à l’entendre, sauf que j’entends aussi ce qu’elle ne dit pas.
J’affirme que la situation environnementale actuelle a décuplé le mal-être des déjà inconfortables crises d’ado et les plonge dans un environnement d’une instabilité effroyable, faisant disparaitre le moindre repère, les maintenant de façon permanente dans un climat de violence psychologique mettant en péril toute construction identitaire saine.
Associé à la sensibilité importante de ma plus jeune fille le contexte sanitaire actuel a bouleversé un grand nombre de ce qui constituait ses repères :
- Fin des rencontres avec des amies très proches dû à la peur des parents face au virus
- Fin des regroupements à la maison dû aux confinements et aux couvre-feux
- Impossibilité de sport dans un club
- Cours de musique tronqués et difficiles, répétitions en groupe interdites.
- Fin de la communication faciale (80% de la communication ne passe pas par la parole)
- Difficulté de concentration
- Fin des voyages
- Colonie de vacances annulée
- Refus de contact de la part de sa grand-mère après le premier confinement, acte déstabilisant surtout quand tout le monde se porte comme un charme.
- Plongée au milieu de peurs diverses les siennes et celles des autres : peur du virus, peur de l’amende, peur de la vaccination, peur du refus des parents à laisser les enfants se voir, peur de perdre ses amis, peur des mesures totalitaires qui peuvent toucher ses parents, peur de se faire enguirlander parce qu’elle n’a pas le masque dans le bus ou à l’école, peur d’un test qui serait positif, deuil anticipé d’une arrière-grand-mère de 98 ans qu’on ne peut plus approcher ni toucher hélas enfermée dans un EHPAD, peur d’être en retard pour le couvre-feu, peur quand on constate avoir oublié l’autorisation de sortie, etc.
Elle baigne dans ce climat depuis 1 an.
Sa douleur est grande, grande et incompréhensible pour elle, bouleversement hormonal suivi d’une source de stress qu’elle n’est ni en capacité d’identifier ni de verbaliser, les adultes ont déjà du mal alors évidemment des adolescents…
Quand l’errance est trop forte, quand l’isolement est trop pesant, quand elle ne comprend plus ce qu’elle fait là, pourquoi, dans quel but elle vit alors que tout est interdit, que tout va mal partout, qu’il y a trop d’incohérence, quand sa vie lui parait bien peu attrayante, quand la tristesse et le désarroi la submergent elle se fait mal.
Quand la douleur est trop grande dedans il faut qu’elle existe dehors.
Quand on n’arrive pas à dire on fait des gestes qui parlent pour qu’on nous entende.
Ils n’ont jamais été si peu entendus.
Ce qu’inflige notre gouvernement à nos enfants est redoutable de sadisme et d’intelligence manipulatrice :
- A l’heure ou l’adolescent se dissocie de son environnement familial et se retrouve exposé et fragile, où il s’oppose à ses parents (et à leurs conseils de protection face à ce qu’ils traversent), où systématiquement ils feront l’inverse de ce qu’on va préconiser.
- A l’heure où sa vulnérabilité est la plus forte, alors qu’il se détache d’un environnement protecteur pour se construire en tant qu’individu à part entière avec des pairs qui lui ressemblent.
Au moment où il est dans cette transition, sans protection, à ce moment précis on le prive de toute proximité sociale, on empêche le groupe et on le musèle.
- Alors que les amis ont une importance capitale, essentielle, vitale au développement psychique de l’ado, il se retrouve privé de toute interaction avec ses semblables
- Il ne lui reste qu’un écran d’ordinateur ou un téléphone… des tas d’études sont disponibles sur les effets néfastes de ces écrans et réseaux sociaux dans le développement de l’ado, mais depuis un an ils n’ont plus que ça.
- Jusqu’au sport en salle au collège qui est interdit, vestiaires et douches interdits.
- Aux fenêtres ouvertes à 2 degrés extérieur dans les salles de classes, certains professeurs névrosés et rongés par la peur du Covid voient en chaque enfant un danger potentiel.
- Aux repas avec un masque
- A un masque sale qui retient tout ce qui normalement circule, qui n’a au final pour vocation que de museler et non protéger
- A un apport de CO2 qui explose les maximales tolérées et va indubitablement leur nuire. Les scolaires sont la population qui porte le masque le plus longtemps sur une journée : transport scolaire + école, 10h minimum.
- A des troubles du discernement, du jugement et de la réflexion
- Une acceptation docile et parfois bravache de ce qui leur nuit, comme la malbouffe, le sucre, les écrans, la pollution…
- Des effets qui ne se verront chez certains que plus tard, comme ceux du sucre, de la malbouffe, de la pollution.
- Une violence verbale entre élèves croissante dans les établissements scolaires, des élèves qui craquent de cet isolement, de cette absence de protection qu’on leur doit et qu’on ne leur donne pas.
- Ils se sentent intuitivement en danger sans oser pour la plupart l’exprimer mais ils ne voient aucun adulte prendre position pour eux.
Les effets sur L. bien qu’ils semblent moins importants à première vue laisseront eux aussi des séquelles. Probablement plus graves encore que pour S. qui a, par ses actes violents, une attitude de refus et de révolte sur la situation, même si elle n’identifie pas ce qui arrive.
L. utilise un outil de soumission qu’on lui inflige, dont elle est la victime, pour revendiquer son « soi » face à nous ses parents. Ça n’a aucun sens mais elle est trop jeune pour le comprendre.
Elle continue fièrement de brandir son masque en signe d’indépendance de pensée, elle se dissocie de moi en s’asphyxiant… En se soumettant à une autorité qui n’œuvre pas pour son bien-être loin de là.
C’est précisément avec cette catégorie de population que réside toute la perversité, l’intelligence et la réussite de la manœuvre.
Toute sa réussite aussi.
La manipulation sur ce public est fine car ils seront probablement en opposition vis-à-vis de notre aide ou de notre soutien pour une raison bien simple : ça sous entendrait qu’ils sont « victimes » à une période de leur vie où ils s’imaginent tout savoir et être les plus forts : c’est pour eux impensable.
C’est nous, défenseurs, qui risquons de passer pour les « méchants » qui ne voudraient pas les protéger en œuvrant contre le port du masque.
En ciblant ce public ados-étudiants les gouvernances n’ont plus à chercher une stratégie pour asservir la nouvelle génération, les jeunes s’infligent eux-mêmes cette dominance par le biais de cet outil de soumission qui va totalement bouleverser leur développement psychique et former la grande majorité en futurs adultes dociles et malléables.
Parce que cela arrive à une période de leur vie où ce qui vient de nous, parents et tuteurs, sera refusé en bloc, même notre protection.
Ce masque est d’une puissance effarante.
Jamais de telles mesures ne furent prises, jamais personne n’avait bloqué à si grande échelle un développement indispensable à l’ado pour aller vers sa construction d’adulte.
Les études nazies sur les enfants en les privant de contact furent parlantes. Les enfants soldats sont les preuves vivantes de ces manipulations psychologiques, on fait faire ce qu’on veut à un public formaté. C’est ce qu’il se passe à grande échelle.
Un parent doit protéger ses enfants et s’il ne le fait pas c’est contre nature.
Nos comportements par ces acceptations deviennent contre nature.
Par des lois nous sommes dans l'application d'une maltraitance sur nos enfants : complices.
Que donneront ces futurs adultes qui se seront construits dans le déséquilibre, dans la peur, dans la violence d’une dictature sanitaire, dans l’absence de soutien de la part de ceux qui devaient le faire ?
Je vais vous parler de l’emprise.
Cette manipulation insidieuse qu’on ne voit pas venir et qui semble subitement vous propulser prisonnier dans une camisole de force inextricable.
On ne la voit pas au premier coup d’œil, ce sont des petites choses discrètes qui se mettent en place. Généralement très agréables : on est aux anges.
Une emprise ne peut se mettre en place sans séduction, quelle qu'elle soit.
Des petites choses qui finissent par nous tenir à la merci du Manipulateur.
Avec un grand M oui car c’est tout un art, surement pas à la portée du premier imbécile il faut de l’intelligence. De l'intelligence et de la stratégie.
L’exemple très parlant de la femme battue.
Si l’homme envoyait un uppercut au premier rendez-vous ça ne marcherait pas, aucune femme ne resterait.
La toile se tisse, le temps qu’il faut, pour certains quelques semaines, quelques mois pour d’autres des années.
Une dépendance est créée, affective, financière, protectrice, facilitatrice, il n’y a que l’embarras du choix. Une fois installée le process violent commence.
La victime se retrouve ficelée dans la toile, incapable de réagir.
Prenons les aides sociales.
Bonheur absolu cette manne qui tombe du ciel.
Faites ce qu’on vous dit ou on les supprime. Certains ne travaillent pas car ils y perdraient trop sur les aides.
Sauf que le travail rend indépendants ce n’est pas rien.
Les restaurateurs aujourd’hui : subventions pour le manque à gagner (mais d’où vient tout cet argent interrogez-vous). Les restaurateurs s’asphyxient veulent retravailler, ils sont tenus par les c… au moindre faux pas on punit : pas d’aides !
Alors ils continuent d’eux-mêmes, docilement, leur suicide.
Les grandes surfaces. Tout est là dispo à profusion, à tropfusion, leurs codes leurs marques leurs conditions : emprise totale sur les consommateurs. Ils font avaler des produits cancérigènes, ils tuent les producteurs, ils assèchent la planète, ils vident vos portefeuilles. Mais les acheteurs sont accros, pire que des junky suffit de regarder les parkings.
Aujourd’hui la toile se resserre vite. L’asservissement est grand :
- Abandon de nos ainés dans les EHPAD seuls isolés maltraités
- Maltraitance de nos enfants sans aucuns loisirs, sans contact social, sans oxygène, masqués toute la journée, des ados qui veulent mourir, qui se scarifient, qui s’agressent…
- Privation du droit de vivre ensemble
- Privation du droit de parler
- Jusque dans les métros où le silence est imposé
- Privation de travailler
- Privation de se soigner…
Jusqu’où supporterez-vous tout ça ?
N’avez-vous pas assez mal ?